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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Auteur Françoise Autin | Titre Le Petit Nat | Date de Parution 11 mai 2020 | Éditeur Les Trois Platanes | Format 12,7×17,8 | ISBN 978-2-919270-118 | Pages 150 | Prix 15 €. Disponible en librairie et chez l’éditeur (contact@troisplatanes.com) | Quatrième de couverture :
Après La Maison dans la Drôme, voici Le Petit Nat : une suite et un renouveau. Le lecteur retrouvera l’atmosphère, la couleur, le charme et le feu des nouvelles précédentes. La fureur de vivre peut même devenir le ressort d’un drame. Des chats, messagers d’au-delà inaugurent et clôturent le recueil. Il arrive aussi que l’actualité sous-tende l’action de plusieurs nouvelles qui acquièrent alors une tonalité de conte moral. Mystère ultime qui inspire le titre : le parfum de santal de cette statuette égarée à Nyons et qui pleure sa Birmanie natale.
Françoise Autin
est née en 1940. Après des études de droit et de lettres à Paris, elle élève une famille de six enfants et suit les cours de chinois de Jean-François Billeter à l’Université de Genève. En 2011, elle publie des mémoires écrits en Californie : Les Collines de Berkeley, en 2012 une suite de nouvelles La Maison dans la Drôme, en 2014 l’adaptation française du livre de Paul Arabe : Sur les Pas de Nietzsche à Sils-Maria et en 2020, à la suite d’un voyage en Birmanie Le Petit Nat. En parallèle avec son activité d’écrivain, elle anime les Cafés littéraires de Valréas.
Je prie pour que cette histoire soit vraie… Bravo et merci pour ce lointain voyage !
L’objet-livre est élégant et précieux, c’est un livre miniature qui tient dans une main et nous tient compagnie!
Les nouvelles ,nerveuses et fluides, se lisent avec plaisir;
» Le petit Nat » se promène dans nos paysages familiers ou lointains, il murmure, se tait aussi, et nous laisse dériver entre songes et collines.
Il me semble que chaque texte parle de l’autre monde, de l’autre côté du miroir ou de l’autre dimension, comme on voudra l’appeler. Ou au moins de la fêlure ou du moment d’incertitude qui nous permet de passer dans une autre réalité. Un peu comme Alice, ou comme 1Q84, que j’avais beaucoup aimé.
Ma préférée pourrait être « La pleine lune », mais je n’aime pas classer.
Merci Rosalinde. B.
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L’écriture est fluide et légère et ces nouvelles empreintes de mystère. On y rencontre des esprits, des fantômes et les chats ouvrent et referment le livre. Ne sont-ils pas des animaux-totems et le symbole de ce qui nous lie à ce qui est caché et mystérieux ? Et puis ce livre est une invitation au voyage. D’un lieu à l’autre, de Mirmande et Montbrison (si je ne me trompe) jusqu’en Birmanie ou Berkeley, on va de maison en maison et de paysage en paysage.
Bruno Mabille
Des parfums de santal, de mystère et d’errance parvenus des rives de l’Irrawady jusqu’au coeur de notre Drôme provençale, un exil loin de nos calmes collines vers une ancienne demeure hantée ouverte sur la vaste baie de San Francisco … Avec » Le petit Nat « , la couleur et la beauté du style et des mots nous entraînent irrésistiblement à la poursuite d’étranges fantômes mais aussi de l’éternelle aventure, toujours surprenante, de la vie … Francis Julien Pont