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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Auteur Bernard Peix | Titre Marie Tango | Date de Parution 15 décembre 2019 | Éditeur Les Trois Platanes | Format 12,7×17,8 | ISBN 978-2-919270-101 | Pages 192 | Prix 15 €. Disponible en librairie et chez l’éditeur (contact@troisplatanes.com) | Quatrième de couverture :
Sur un muret du Pierre Loti Café, le corbeau Maximus observe un homme assis à une table, occupé à faire frémir la plume de son stylo sur les pages d’un cahier. Les Mémoires de Casanova sont posés à côté de lui. Il rédige Marie Tango et repense aux Maries qui ont tangué dans sa vie, charmées, éblouies par le flot de poèmes qui se déversaient sur elles comme autant de parfums qui les transportaient dans l’ailleurs de l’enchantement. Yeux dans les yeux, mains nouées, corps contre corps, la furieuse musique de la séduction opérait. Où s’en sont-elles allées ces amours tendres, émouvantes, cocasses, drôles ou rocambolesques, toujours follement romantiques ? Dans le ciel de la mémoire, transfigurées en étincelants poèmes.
Bernard Peix
naît en 1936 à St Etienne sous le signe du Scorpion. Puis ses parents s’installent à Toulon. Sa grand-mère maternelle, cousine d’Henri Brémond et de Paul Reynaud, lui lit chaque soir une page des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand. Après des études de lettres classiques en Sorbonne, il est lecturer in french à Oxford.
A son retour, il travaille chez René Julliard puis aux Editions d’Art Les Heures Claires. Il se consacre maintenant à l’écriture et donne des conférences sur ses auteurs préférés.
Hâte de le lire car si le livre évoque ne serait-ce que quelques moments de la vie de l’auteur … ce sera formidable !
Après avoir dévoré avec bonheur « Marie Tango », ce magnifique livre de Bernard Peix, j’ai failli m’écrier » Henry Miller sors de ce corps ! » tant l’amour des femmes et de la vie, magnifié par la force d’une constante et très belle poésie et d’un humour au ton si fin, y ruissellent à chaque page. Marie Tango est un grand cru qu’on a envie de déguster religieusement … Francis J. Pont
Quel bel hommage à la Femme, à la beauté, à la littérature ! On sent tous les auteurs dont Bernard s’est inspiré en filigrane, Casanova bien sûr, et pourtant l’auteur de « Marie Tango »a son propre style : parfois un peu flou comme lui, ce Pierrot lunaire, ou sachant raconter des histoires , ses histoires d’amour, inventées ou vécues, on ne sait pas, parfois drôles ou délirantes, mais le lecteur est captivé !
Quelle belle idée ce dialogue avec Maximus, et les poèmes de l’auteur, apparaissant ci et là, sont une césure avec le récit, comme pour rappeler que Bernard est aussi un poète…
Je viens de lire Marie Tango, excellente. Je l’ai aime. Je connais l’auteur et maintenant je lui connais plus.
Pour une anglaise c’etait necessaire utiliser le dictionnaire beaucoup. Il aime les mots romantique et Shakesperian. Donc apres un peu de temps, je vais relire pour suivre l’histoire de l’amour un peu plus vite.
J’aime beaucoup son style d’ecriture, les endroits descriptive et les poems. L’histoire de l’amour, j’ai trouve tres triste mais j’ai realise que j’ai de la chance. Je reste avec mon premier amour que j’ai rencontre en 1963, longtemps!
Mon mari a dit que c’est trop difficile pour lui le lire en francais. Peter attends le traduire en anglais, tres facile pour Bernard le romantique.
Livre labyrinthe au rythme chaloupé et haletant, au style situé dans l’horizon de Proust et de Giono, aux descriptions poétiques en formes de volutes douces, précises et acidulées, à la narration en lignes de fuites oniriques, stupéfiantes ou métaphysique, aux évocations à la fois pudiques et gaillardes d’amours lancéolées : Mari Tango…
Bernard Peix, après Charles Denner dans « L’homme qui aimait les femmes » de Truffaut, nous emporte au coeur de « l’aventura » essentielle qu’est la séduction, cette forme de la rencontre aux charmes et aux mystères toujours renouvelés.
Je viens de lire Marie Tango.
Quel régale !
L’écriture est très belle et les poèmes superbes
et puis c’est un hymne à la vie et à l’amour.
Merci de la part de toutes les femmes.
Un bonheur ce roman plein de poésie. Élégant, érudit, il nous entraîne avec humour dans le tourbillon des délicieuses angoisses d’un séducteur passionné.
Vive l’Amour, mais les effets retors du confinement à deux pourraient le menacer. A l’instar de Casanova, maître à penser de Bernard Peix, le conteur de Marie Tango séduit les femmes, porté par la cristallisation des amours naissantes.
Mais les dames, toutes prénommées comme la Sainte Vierge, ne sauront garder ce poète qui leur a un temps porté de l’intérêt ; il n’aime ni les cages, ni le doré, ni les effets du temps qui passe sur leur beauté et leur jeunesse.
Qu’en termes galants, humoristiques et facétieux ces choses-là sont écrites !
Claire Roux La Salle
bernard j’ai lu à l’hôpital Marie Tango qui a ainsi distrait ma solitude. Je rejoins tous les commentaires élogieux donc inutile d’en rajouter mais et ce mais est difficile à écrire car il y a un manque affreux dans ce livre c’est l’amoue profond . Comme le poète je dirais la tempêtee s’éloigne les vents sont calmés la pluie pleure sur la bruyère moi je pleure mes deux amours des vrais l’un s’est tué en voiture l’autre comme vous le savrz vient de mou rir, alors Marie Tango est aimée par un papillon quibutine tous ces ravissants corps de femme et puis après c’est le vide absolu désolée d’ainsi négative mais ce ravissant livre est la représentation exacte de ce que vous êtes . J’ai refermé ce livre tellement raffiné et élégant mais je n’ai rien que lui entre les mains. Mon commentaire est un peu confus Une tisane du Gers m’éclaircira peut-être l’esprit à défaut du coeur.